Dream Steps, premier album du guitariste Paul Abirached, nous fait découvrir un univers singulier.
Ses compositions sont nourries d'une émotion qui doit beaucoup aux ressources du rêve et aux surprises de l'imagination.
Avec ses trois formidables musiciens, Paul Abirached partage le goût d'une musique ouverte, qui sait prendre des risques, avec une liberté qui n'exclut pas une certaine retenue.
Il a trouvé les partenaires idéaux pour servir ses mélodies et tisser un dialogue qui s'annonce passionnant.
L'enregistrement vu par Martin Sarrazac
Dream Steps a été enregistré en deux jours, deux sessions intenses durant lesquelles ces dix morceaux de Paul Abirached - dix histoires brèves racontées à quatre voix - ont trouvé leur ton.
Paul Abirached joue de la rupture, du décalage. Il y a des retournements, de l’ironie dans sa musique, ce mordant qui en littérature fait l’art de la forme brève. Il dessine une mélodie simple, mais la structure vient contredire cette simplicité. Il nous entraîne dans un pur plaisir mélodique, puis prend un chemin de traverse, pavé de dissonances.
A l’origine de chacune de ces compositions il y a une histoire, un souvenir. Plutôt que de donner des directions explicitement musicales, c’est dans ces termes - quelque chose à raconter, une intention - que Paul présente ses morceaux au groupe. Les arrangements sont ouverts sur la rencontre, l’instant présent; ils sollicitent la générosité des trois superbes musiciens qui entourent le guitariste.
Gilles Naturel, Alain Jean-Marie et Andrea Michelutti se livrent sans réserve. Ils nourrissent les morceaux de leurs propres propositions, tout en accompagnant Paul dans les détours de ses désirs, à travers des atmosphères oniriques, parfois folk ou “free pop”, et jusqu’à côtoyer par instants un inconfort fécond.
Alain Jean-Marie jouant sur un piano préparé, on avait jamais entendu ça avant Parc Güell : “Il faut prendre une photo, c’est historique!”, dit Andrea Michelutti hilare.
Ses compositions sont nourries d'une émotion qui doit beaucoup aux ressources du rêve et aux surprises de l'imagination.
Avec ses trois formidables musiciens, Paul Abirached partage le goût d'une musique ouverte, qui sait prendre des risques, avec une liberté qui n'exclut pas une certaine retenue.
Il a trouvé les partenaires idéaux pour servir ses mélodies et tisser un dialogue qui s'annonce passionnant.
L'enregistrement vu par Martin Sarrazac
Dream Steps a été enregistré en deux jours, deux sessions intenses durant lesquelles ces dix morceaux de Paul Abirached - dix histoires brèves racontées à quatre voix - ont trouvé leur ton.
Paul Abirached joue de la rupture, du décalage. Il y a des retournements, de l’ironie dans sa musique, ce mordant qui en littérature fait l’art de la forme brève. Il dessine une mélodie simple, mais la structure vient contredire cette simplicité. Il nous entraîne dans un pur plaisir mélodique, puis prend un chemin de traverse, pavé de dissonances.
A l’origine de chacune de ces compositions il y a une histoire, un souvenir. Plutôt que de donner des directions explicitement musicales, c’est dans ces termes - quelque chose à raconter, une intention - que Paul présente ses morceaux au groupe. Les arrangements sont ouverts sur la rencontre, l’instant présent; ils sollicitent la générosité des trois superbes musiciens qui entourent le guitariste.
Gilles Naturel, Alain Jean-Marie et Andrea Michelutti se livrent sans réserve. Ils nourrissent les morceaux de leurs propres propositions, tout en accompagnant Paul dans les détours de ses désirs, à travers des atmosphères oniriques, parfois folk ou “free pop”, et jusqu’à côtoyer par instants un inconfort fécond.
Alain Jean-Marie jouant sur un piano préparé, on avait jamais entendu ça avant Parc Güell : “Il faut prendre une photo, c’est historique!”, dit Andrea Michelutti hilare.